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M. Bareil, Orthophoniste:
«J'utilise la tablette dans mes séances depuis presque un an et je dois dire que je suis entièrement satisfaite de cette acquisition !»
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I. Eyoum, Orthophoniste, Formatrice:
«C'est le thérapeute qui va vers le malade et pas le patient qui doit faire des tas d'efforts pour accéder au support.»
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| I. Marque, Orthophoniste:
«Evidemment la tablette est une bénédiction quand on change de bureau plusieurs fois dans la journée.» + Lire la suite |
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| E. Prévost, Ergothérapeute:
«La tablette tactile fait partie des nouvelles technologies que l'on peut intégrer, en tant que thérapeute, à notre pratique quotidienne...» + Lire la suite |
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Vraiment pratique
> légère : maniable, bien moins lourde et encombrante à transporter qu'un ordinateur portable.
> nomade : elle vous suit facilement dans les services sans vous encombrer ni vous ralentir.
> rapide : allumage instantané pour se mettre au travail immédiatement ! |
Vraiment pour tous
> universelle : adhésion de tous les âges, travail valorisant et agréable.
> stimulante et innovante : une nouvelle manière
de travailler, complémentaire de vos méthodes actuelles.
> simplissime : pas de formation nécessaire, utilisation
intuitive, prise en main rapide, nombreuses possibilités. |
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Vraiment intéressante
> tactile : les réponses se valident directement en touchant l'écran de la tablette.
> beaucoup plus facile : pas d'apprentissage, pas
d'échec, pas d'explication longue pour une tâche, pas de souffrance cognitive...
> Avantages thérapeutiques : entrée tactile,
coordination oculo-manuelle, motricité fine, ... |
| DEJA DE NOMBREUX ADEPTES !
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Marjorie Bareil, Orthophoniste :
(Novembre 2012)
« J'utilise la tablette dans mes séances depuis presque un an et je dois dire que je suis entièrement satisfaite de cette acquisition !
En effet cela a changé mes prises en charge à domicile, finis les classeurs à amener, les images qui tombent dans le sac, les photocopies et dossiers papiers… la tablette me permet de tout regrouper avec une qualité d'image excellente (bien meilleure que mes images imprimées).
J'ai été la première surprise de constater la facilité d'utilisation tout d'abord pour moi (car je ne suis pas du tout une accroc aux nouvelles technologies) et ensuite pour mes patients quel que soit leur âge (la plupart des personnes âgées n'avaient jamais utilisé ni même un ordinateur et au cabinet refusaient de l'utiliser avec moi). En fait il n'y a rien à expliquer juste à montrer une fois et le patient (même très âgé) sait immédiatement comment s'y prendre.
Le côté convivial aussi de travailler ensemble sur la tablette me plaît et a son avantage par rapport à l'ordinateur où le patient est seul avec son écran et sa souris.
L'utilisation de la tablette me permet de travailler des domaines que j'avais mis de côté avec certains patients qui étaient trop en échec en travaillant de façon plus «classique», notamment quand le patient ne peut plus écrire (je pense aux pathologies neurodégénératives).
- avec les démences je peux faire travailler la mémoire visuelle, auditive, ou les 2 à la fois, l'attention et la concentration.
- avec les aphasiques « Y'a pas photo » est extrêmement intéressant et complet.
- avec les traumatisés crâniens, le module « fonctions exécutives » est très adapté. Les niveaux de difficulté sont modulables et montent à un niveau assez élevé.
J'interviens en maison de retraite et il est amusant d'observer l'intérêt et la curiosité des autres résidents face à ce nouvel outil.
Avec tous les patients, adultes ou enfants, le travail sur la tablette est vraiment valorisant et varié.
Un enfant autiste de 7 ans qui ne coloriait pas du tout jusqu'alors a commencé à colorier avec son doigt sur la tablette, nous avons fait des jeux de «remplissage» où il devait d'abord sélectionner une couleur de son choix puis l'appliquer et très vite il est passé à l'acte sur la feuille papier avec ses crayons de couleur, à présent il prend plaisir à faire des coloriages pour le plus grand bonheur de ses parents. Ici, la tablette a vraiment été un plus thérapeutique car elle a servi d'intermédiaire.
Je pense que cette pratique va s'étendre car elle a vraiment un intérêt thérapeutique et personnellement l'utilisation de la tablette a dépassé toutes mes attentes ! »
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Isabelle Eyoum, Orthophoniste et Formatrice, répond à nos questions :
(Novembre 2012)
Isabelle Eyoum ne se sert de la tablette qu'avec Tvneurones «Les métiers». Elle l'utilise tous les jours avec tous ses patients.
Editions Créasoft : Pour vous thérapeute, quels avantages voyez-vous dans le couple Tablette/Logiciels Créasoft en visite à domicile ?
Isabelle Eyoum :
Maniabilité de l'outil, légèreté, facilité à être transporté, logiciels très rapidement ouverts, pas de latence, où que soit installé le patient, au lit, sur ses genoux, sur le bord d'un divan, d'un fauteuil, sur la table, donc partout, dans n'importe quelle pièce.
«C'est le thérapeute qui va vers le malade et pas le patient qui doit faire des tas d'efforts pour accéder au support…»
C'est la souplesse d'utilisation de cet outil que j'adore.
Editions Créasoft : Et pour vos consultations au cabinet ?
Isabelle Eyoum : L'avantage au cabinet, c'est la mixité car on a la possibilité de passer rapidement d'un outil à l'autre, ce qui permet à l'enfant ou à l'adulte d'avoir une double entrée tactile avec une préhension différente. Entre une souris, où l'on met en place un suivi du curseur (ce qui met en relation l'oeil et la main lien indispensable pour travailler l'apraxie ou la dyspraxie) et la manipulation au doigt où va intervenir le poids du doigt, le suivi de la trace sur l'écran et le « timing » d'utilisation adéquat, le cerveau reçoit deux sources d'information différentes, l'une plutôt par l'œil et l'autre plutôt par le toucher et le geste. Certains, pour des raisons pathologiques, n'arriveront pas à utiliser la souris sur la plan praxique, alors qu'avec un seul doigt sur la tablette, c'est réalisable pratiquement sans effort, on n'est plus du tout dans la même contrainte cérébrale.
L'avantage quand ils ont testé les deux et qu'ils ont été en échec avec l'ordinateur puis en réussite avec la tablette, c'est qu'ils vont plus volontiers vers cet outil qui s'avère moins « inquiétant » que l'ordinateur. Puis, après l'utilisation répétée de la tablette, il arrive assez souvent que le patient accepte de tenter l'essai sur l'ordi (et vice et versa pour les enfants qui manient mieux d'emblée l'ordinateur).
Les patients ont besoin de retour concret, le tactile, c'est concret, c'est quelque chose qu'on touche, qu'on appréhende. C'est du tangible du coup, on a une autre entrée sensorielle…
Editions Créasoft : Et pour votre pratique en établissement ?
Isabelle Eyoum : L'avantage de la tablette, c'est sa maniabilité et la possibilité de l'apporter dans les chambres, pas besoin de branchement, pas de côté paniquant pour la personne âgée.
Ils la manipulent comme une carte postale ou un article de magazine posé sur leurs genoux ou leur table, et ils ont le droit de toucher. Du coup pas de blocage par rapport à des explications ou un mode d'emploi trop complexe. La consigne peut même être donnée par imitation !
C'est ludique, les dessins y sont pour beaucoup, avec l'avantage d'être réalistes et non infantilisants, tous les patients les trouvent beaux : en plus avec TVneurones, les situations sont pragmatiques. Ils les ont vécues.
Le graphisme est très apprécié (dessins et couleurs) quel que soit l'âge.
En animation en Maison de retraite, possibilité de faire des groupes aussi de trois ou quatre patients. C'est très participatif et collaboratif.
Editions Créasoft : Maintenant, quels sont, selon votre expérience, les avantages pour vos patients ? Tout d'abord chez les jeunes enfants.
Isabelle Eyoum : L'enfant hyperactif est très attiré et se canalise plutôt facilement.
C'est ludique, c'est coloré... Ils y sont très sensibles.
Pas d'apprentissage préalable. Ils peuvent y jouer tout de suite.
Dès 4 ans, ils peuvent y arriver facilement car, contrairement à l'ordinateur et à la souris, difficile à appréhender du point de vue de la motricité fine et de la coordination, la tablette ne nécessite qu'un geste de « glisser » qui correspond à une motricité plus élémentaire et plus précoce dans le développement.
Nous possédons 200 capteurs/cm² sur la pulpe des doigts, on est sur une zone hypersensible, donc c'est une source d'information privilégiée pour l'enfant et s'y rajoute la mémoire gestuelle, les sensations kinesthésiques auxquelles l'enfant est particulièrement sensible depuis sa naissance…
L'attention de l'enfant est captée par la luminosité de la tablette. L'écran n'est pas trop grand et ils peuvent centrer leur regard plus facilement.
10 pouces, c'est idéal pour une utilisation avec un patient. Ni plus grand, ni plus petit, sauf à prévoir un format plus grand pour utilisation de groupe !
Editions Créasoft : Et qu'en est-il de vos patients pré-adolescents (CM1/CM2) et adolescents ?
Isabelle Eyoum : Qualité principale : ils connaissent l'informatique, ils savent s'en servir parfois mieux que l'orthophoniste ! Donc ils apprécient l'ortho qui est dans le coup car bien équipée avec du matériel dernier cri… et en plus on joue tout en apprenant….sans avoir l'impression de refaire du travail scolaire.
Le fait que ce soit sur tablette permet de travailler plus longtemps car cela engendre moins de fatigue visuelle et cognitive. Ils le réclament, ils sont motivés… Tout est plus aisé pour eux.
Editions Créasoft : Et pour les adultes et personnes âgées ?
Isabelle Eyoum : Pour tous les types d'adultes, traumas crâniens (évidemment pas pour les voix et les paralysies faciales) mais dans le cadre de toutes lésions cognitives, AVC droit et gauche, Apraxie, Aphasie, Alexie Agraphie, Dysgraphie etc….
Pas d'échec, pas d'apprentissage fastidieux ou trop complexe de l'outil même pour des hémiplégiques. La tablette ajoute une dimension supplémentaire à l'ordinateur grâce aux sensations tactiles et ceci donne des informations complémentaires non verbales au patient aphasique ou dément. Tous les patients appréhendent plus facilement l'écran grâce à ses dimensions plus restreintes et le regard (au lieu de précéder le geste manuel) se met à suivre la main qui se déplace pour accéder à la totalité de l'information visuelle, ce qui aide beaucoup dans le cas des négligences spatio-visuelles.
Comme une carte postale ou un livre, ils ont le droit de toucher, de manipuler et du coup, pas de blocage. Tout le monde y arrive.
Editions Créasoft : En tant qu'Orthophoniste, comment considérez-vous l'apport des tablettes ?
Isabelle Eyoum : Au début, j'avais appris à travailler sur ordinateur, donc j'étais très à l'aise avec la souris. Sur la tablette, j'ai eu besoin de quelques entraînements pour avoir la bonne pression et le bon rythme, ni trop lent ni trop rapide, pour les tracés dans l'astronome par exemple et aussi notamment pour le dessinateur dans l'espace (niveau 3) pour m'apercevoir que c'était très facile et que je progressais très vite car je me faisais au fur et à mesure une image mentale de la représentation spatiale, ce que je n'avais pas su faire au préalable, au lycée notamment.
J'ai vu avec mes patients les mêmes progrès…
Aujourd'hui, je m'en sers tous les jours, et avec tous les types de patients, des plus jeunes (4/5 ans) jusqu'à la plus âgée (82 ans) qui refusait l'ordinateur de toute façon, car "pas de son âge" !
Donc non seulement je conserve ma tablette, mais en plus je vais en acheter une plus performante !
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 Isabelle Marque, Orthophoniste :
(Novembre 2012)
Editions Créasoft : Pour vous thérapeute, quels avantages voyez-vous dans le couple Tablette/Logiciels Créasoft en visite à domicile ?
Isabelle Marque :
Il est bien plus pratique de transporter une tablette avec une autonomie conséquente, mais je suis un peu désarmée par le peu de logiciels bureautiques.
Editions Créasoft : Et pour vos consultations au cabinet ?
Isabelle Marque : L'utilisation au plus près des patients est un avantage, par exemple un patient qui ne présente plus que le pointage (Y'a pas PHOTO sur écran tactile).
L'inconvénient vient du son qui est émis à l'arrière de la tablette et qui a donc moins de qualité et d'intensité. Les couleurs sont moins jolies (peu de différences entre le bol de lait et le bol de chocolat dans Y'a pas PHOTO).
Editions Créasoft : En effet, peu de tablettes proposent des haut-parleurs sur la face écran. C'est fort dommage. Connaissant la tablette que vous utilisez, je sais qu'effectivement le son est à l'arrière. Pour information, sur les nouvelles tablettes que nous proposons, le son est à l'avant et je vous rejoins : c'est vraiment mieux. Certaines tablettes proposent des réglages de contraste. Peut-être cela pourrait raviver les couleurs.
Editions Créasoft : Et pour votre pratique en établissement ?
Isabelle Marque : Evidemment la tablette est une bénédiction quand on change de bureau plusieurs fois dans la journée. Elle tient dans le cartable. Mais son côté fragile me gêne un peu dans ma pratique en psychiatrie enfants.
Editions Créasoft : Il existe de nombreuses protections pour tablette (+/-35 €). J'attire votre attention sur un support extrêmement original et probablement le plus adapté pour des pratiques « à risque ». Consultez sur le moteur de recherche « s'mouss ». Je pense que c'est très bien. Cependant, ce n'est pour l'instant pas disponible pour votre modèle de tablette…
Editions Créasoft : Maintenant, quels sont, selon votre expérience, les avantages pour vos patients ? Tout d'abord chez les enfants.
Isabelle Marque : Fascination pour les enfants, qui ont tous, eux, un iPad (mon œil), mais qui sont très sensibles à l'aspect « mode » de ce support dont ils ne savent pas plus se servir que d'un ordinateur.
Editions Créasoft : Et qu'en est-il de vos patients adolescents ?
Isabelle Marque : Ils ont l'impression d'être dans le vent, on peut faire ainsi passer un peu plus facilement le travail. Il faut cependant tester devant eux la connexion internet sans fil pour les fasciner un peu.
Editions Créasoft : Et pour les adultes et personnes âgées ?
Isabelle Marque : Les adultes âgés sont souvent plus réticents (« c'est un truc de jeunes ») mais le confort de l'écran tactile les séduit. Cependant, le mauvais son, le format trop petit, l'écran peu stable en position pupitre, la maladresse de certains affolant l'écran tactile (appui du doigt et de la paume de la main en même temps), en font un outil moins évident pour ces personnes.
Editions Créasoft : A nouveau, selon les tablettes, il existe différents supports de type pupitre qui stabilisent très bien la tablette, qui rendent l'accès encore plus ergonomique et qui font office de protection (+/- 35€).
Editions Créasoft : Considérez-vous que ce dispositif offre un «plus thérapeutique» ?
Isabelle Marque : Ce nouveau support apporte un regain d'intérêt. La variation possible des plans de travail est intéressante. Il n'y a pas besoin d'outil (souris, crayon) : le geste est plus « naturel » (je n'ai cependant jamais pu faire l'astronome sur TVneurones les métiers). En domicile, l'éventail de matériel est plus large et permet d'apporter un peu du cabinet à l'hôpital (je transfère mes habitudes de logiciels et de supports dans le service public, si démuni).
Editions Créasoft : Pour certaines activités où la précision est prédominante (je vous rejoins, l'astronome est plutôt difficile, nous allons voir comment y remédier), il existe des stylets spéciaux pour tablette (entre 5 et 10€). C'est très intéressant pour la pratique orthophonique.
Editions Créasoft : En tant qu'Orthophoniste, comment considérez-vous l'apport des tablettes ?
Isabelle Marque : J'aime bien les nouvelles technologies alors j'attends avec impatience la tablette XXXL pliable, avec le clavier hologramme sur la table devant la tablette. Je ne suis pas encore entièrement satisfaite mais c'est indéniablement un plus.
Editions Créasoft : Chaque année, les tablettes évoluent. Rien n'interdit de croire que dans quelques années…
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Emilie Prévost, Ergothérapeute :
(Novembre 2012)
« La tablette tactile fait partie des nouvelles technologies que l'on peut intégrer, en tant que thérapeute, à notre pratique quotidienne.
En tant qu'ergothérapeute intervenant à domicile et en EHPAD, j'utilise de plus en plus régulièrement la tablette comme support de travail (stimulation cognitive principalement) et je suis toujours étonnée par les réactions des personnes âgées lorsque je leur propose d'utiliser ce support. "Ca change", "c'est original", "c'est pas si compliqué", "je pourrais y passer mes journées" me disent-elles avec l'envie et la curiosité de continuer...
Avec une moyenne d'âge de 87 ans, l'ensemble des personnes montre une certaine aisance à utiliser la tablette (après quelques démonstrations tout de même... et un accompagnement) et sans aucun doute plus de facilités qu'avec un ordinateur classique.
Outre son aspect "ludique", cet outil est pratique car il n'y a pas besoin d'accessoires (souris, clavier) et son utilisation est, de ce fait, nettement plus simple. La coordination oculo-manuelle, la motricité fine et la précision ont tendance à diminuer avec le vieillissement, ce qui peut rendre les apprentissages et certaines tâches plus complexes. L'écran tactile est donc une approche intéressante, voire conseillée, pour la personne âgée.
La tablette tactile est un outil "nomade", simple et ludique qui peut répondre à de nombreuses attentes...
Les logiciels PRESCO, Y'A PAS PHOTO et TVNEURONES des Editions Créasoft s'utilisent très facilement sur une tablette tactile ; la personnalisation de l'appareil (contraste, taille de la police, orientation, volume, ...) et du logiciel (type d'exercice, niveau d'activité, ...) en fait un support de rééducation ou de stimulation cognitive individualisé, précis, original et apprécié de part et d'autre.
Ce témoignage est la conclusion de quelques mises en pratique avec des personnes âgées ayant des capacités cognitives différentes, des parcours socio-professionnels différents et des centres d'intérêt différents. Un point commun est leur curiosité...
Il est certain que la présence du thérapeute est recommandé pour guider l'utilisateur.
L'avancée en âge n'est pas, et ne doit pas, être un frein à l'utilisation de ces nouvelles technologies. » |
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